Le corps ne s’use que si l’on ne s’en sert pas.
Il est incontestable que bouger est bon pour la santé physique, mais pas seulement, notre santé mentale en profite aussi.
A la seconde où nous courons, pédalons, ou shootons dans un ballon, la chimie du corps commence à changer.
Celui-ci inonde le cerveau de molécules (endorphines, sérotonine, dopamine) responsables d’un changement de notre état psychique, nous mettant de meilleure humeur grâce à :
– une diminution de l’activité dans la zone responsable des pensées angoissantes,
– une réduction de l’inflammation (responsable de certains troubles anxieux),
-une augmentation de l’activité des régions impliquées dans le traitement des émotions,
– un détournement de l’attention des signes de mal être.
L’activité physique même modérée favorise un état de bien être et de relâchement, nous aide à surmonter l’anxiété et offre une plus grande résistance au stress.
Sachant cela, il ne nous reste plus qu’à identifier ce qui nous motive. Plus le plaisir associé à une activité est grand, meilleurs en seront les bénéfices.
Sources:
Cerveau et psycho n°86 et 120.